JOSEPH GORDON-LEVITT ❄ libre.

Julio est âgé de 26 ans, c'est le frère de Niriel. Il vit de petits boulots en petits boulots et ne s'en plaint pas. Il y a deux ans, il quittait l'enfer des gangs, lui même membres de l'un d'entre eux, il avait risqué sa vie plusieurs fois et était tombé dans la drogue. Il réalisa son malheur lorsqu'il tua un homme. Il ne fut jamais reconnu coupable. C'est un cauchemar qui le hante encore aujourd'hui. Il est raide dingue de la collègue de sa sœur, Kobra. Il l'a rencontré un jour où il nettoyait les couloirs de la chaine télévisée.

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Ce dimanche matin là, ils étaient tous réunis. Toute la famille Bolivar était réunie autour d'une table miteuse chez Tante Olive. L'ambiance était au point mort, personne n'osait dire un mot, seul des regards perturbés étaient échangés entre quelques uns. Julio observait sa soeur aînée et lui faisait des signes d'appel au secours. Il en avait marre. Cette famille l'insuportait, il n'en pouvait plus. Jamais ils n'avaient jamais réussis à avoir un réel dialogue. Tous les malheurs et les souffrances restaient pesantes au fond de chacun et ne sortaient pas.
Julio se leva de table. Sa soeur le suivis. Ils se retrouvèrent dans leur chambre. Les deux lits étaient positionné face à face. Ils entrèrent, fermèrent la porte puis restèrent tous d'abord debout. Après avoir souffler un bon coup Julio avoua.
«C'est sûrement la dernière fois que je viens Niriel.»
«Comment ça?»
«Je veux dire que j'en peut plus de ce silence à la con!»
«Tu peux pas nous lâcher comme ça. Si sa te gave viens moins souvent, mais tu sais comme maman est fragile. Elle ne s'en remettra pas...»
«Sa fait plus de vingt ans que j'attends qu'elle me parle.»
«Julio, j'ai besoin de toi ici, je ne pourrais pas y aller seule.»
«Tu lui expliquera ma vision des choses...»
«Tu sais très bien que l'on n'en parlera pas.»
«Temps mieux!»
«Très drôle! Je veux pas la voir souffrir, tu comprends!?»
Julio baissa les yeux et regarda vers la fenêtre qui se trouvait entre les deux lits.
«Je t'interdis de nous lâcher...»
Sur ses mots, Julio retint une larme, il n'en pouvait plus, mais il devait le faire, pour sa soeur. Lorsqu'il partis, elle s'assit sur le lit de son frangins et son visage tomba dans le creux de ses mains pour éclater en sanglots.

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Avatar difficilement négociable. Si vous avez des propositions je suis ouverte, mais je me réserve le droit de refuser.