Antonella de Pablo NELLA ❧ you know that you're wetting my appetite.
✎ Pseudo : Shattered ✎ Crédits : Bedshapedounet. ♥
| Sujet: ALEJANDRO DE PABLO - ED WESTWICK (free) Ven 3 Sep - 18:19 | |
| - Citation :
BY TUMBLR.FEAT ED WESTWICK. ALEJANDRO JÉSUS ESTEBAN CRUZ DE PABLO.
; DIX-NEUF ANS ; ÉTUDIANT ; CÉLIBATAIRE.
À SAVOIR.- Il est né à Buenos Aires, le 13 août 1991. Il est le plus vieux des jumeaux de Pablo. - Sa famille, du moins son père, possède diverses entreprises implantées en Argentine et au-delà. Alejandro est le futur héritier de cette fortune avec sa soeur jumelle, Antonella. - Sa mère est atteinte de divers troubles de comportements et de pertes de mémoires, c'est un début d'alzheimer. La presse l'ignore et il garde le secret avec le reste de la famille tout en souffrant de cette situation. - Alejandro est un Dom Juan, il ne croit ni en Dieu, ni en l'amour. Il ne couche jamais deux fois avec la même personne et on le surnomme El Diablo. - Il est très proche de sa soeur et c'est bien la seule personne qu'il avouera avoir aimer (fraternellement parlant) sur son lit de mort. - Il lit énormément et fait des études en littérature. Il parle parfaitement l'espagnol, le français, l'anglais et un peu d'italien. - C'est un grand amateur de whisky et de cigarettes. - Avec sa soeur ils ont fait un pacte qu'ils doivent conclure avant leurs vingt ans. Ils doivent chacun coucher avec une personne du même sexe qui soit exactement du même caractère qu'eux. Ce qui n'est pas un défi facile. - Dernière chose, tout comme sa soeur qu'il surnomme Anto, il déteste Angelina Jolie et surtout depuis qu'elle a volé Brad à Jennifer. RELATION - Spoiler:
[justify]« Antonella Paola Livia Cruz de Pablo. » Je lève les yeux de ma revue, agacée. Mon frère choisi toujours les bons moments pour venir m'embêter. « Hum ? » Il me montre un paquet de glace à la vanille avec une cuillère, notre péché mignon, qu'il cachait derrière son dos. « Fais-moi de la place. » Il me pousse littéralement dans le lit pour s'allonger à mes côtés. J'attrape le paquet et la cuillère et me met à manger de la glace tout en continuant la lecture. Je replonge la cuillère dans le paquet et la lui met dans la bouche avant qu'il ne puisse dire que je ne suis qu'une égoïste qui ne pense qu'à elle-même. Il affiche un sourire satisfait tout en dévorant sa cuillerée de glace. Je reprends une bouchée et il me ferme sec ma revue. « Je lisais Juan. » Il hausse les épaules pour me dire qu'il s'en fiche et fait voler le magazine à travers la chambre qui se fracasse contre un mur et tombe ouvert au sol avec une image d'Angelina Jolie. Nous affichons tout les deux une mine écœuré. J'enfonce de nouveau la cuillère dans sa bouche avant de faire la même chose avec moi. « Faut qu'on parle Anto. » J'acquiesce même si je n'ai aucune idée de quoi il veut me parler. Eh non, la télépathie ça marche pas avec tout les jumeaux. Seulement je sais que lorsqu'il s'amène avec un pot de glace et une seule cuillère, c'est parce qu'il a soit besoin de mes conseils, soit qu'il souhaite que je lui donne quelque chose. « Tu sais que c'est bientôt notre anniversaire et j'aimerai qu'au lieu des promesses habituelles que l'on se fait et autres conneries, que l'on change de registre. Après tout, on va faire nos dix-neuf ans. Et il faut que l'on fasse quelque chose d'exceptionnel avant la vingtaine. » Je fais fondre la glace sur ma langue. « Tu veux qu'on couche ensemble ? » Il crache sa glace à mes mots, j'affiche une mine triste face à ce spectacle. Cette glace si divine, comment peut-il la gâcher ainsi ? « Je n'étais pas sérieuse. Tu ne t'approcheras jamais de mon utérus sans qu'il ne soit couvert par un vêtement. Et arrêtes de gâcher la glace. » Il s'excuse et me pique la cuillère pour reprendre de la glace. « Je pensais plus à un défi. On pourrait survoler d'autres horizons… » Je l'arrête de la main et lui retire à l'aide de mon pouce, la glace sur le coin de sa bouche. « J'ai déjà embrassée une fille. » Il soupire, agacé. Décidément, je suis une reine gâche-surprise ! Il se ressert de la glace mais avant qu'il se ne puisse la manger, je le tape en lui précisant que c'est à mon tour d'avoir de la glace. Il bronche et me donne la cuillerée rapidement pour s'en servir une nouvelle. Il réfléchi quelques instants et puis comme illuminé, il passe sa langue sur ses lèvres pour récupérer la glace fondante sur sa bouche. « T'as jamais couché avec une fille. Pas embrasser bébé, coucher. » Je me tourne et me met sur le dos dans le lit. « Je t'ai expliqué comment on fait l'amour grand-frère alors je crois que je suis assez savante pour savoir ce que le mot coucher veut dire. » Ses joues prennent une teinte rosâtre. « C'est bon Juan, fais pas ta chochotte. » Il se met à califourchon sur moi et me fait manger la glace. « Tu as un an pour coucher avec une fille soeurette. Un an. Tu dois le faire avant la vingtaine. » J'hausse les épaules. « C'est faisable. » Il se met à rire et à nier mes mots de la tête. « Ce n'est pas si simple Anto. C'est un défi, pas une plaisanterie. Je ne veux pas que tu couches avec une fille quelconque soeurette, je veux que tu couches avec une fille de ton niveau. Or sachant qu'il n'en existe aucune car tu sais toutes les contrôler, tu vas avoir bien plus de mal que tu ne le penses. Je ne veux pas d'une pucelle à déflorer, ni d'une quelconque pétasse qui se pavane dans les rues. Je veux une Antonella de Pablo numéro deux. » Aïe. C'est beaucoup moins simple tout à coup. Seulement je n'ai jamais dis non à une demande et ce n'est pas près de changer. « D'accord. Je vais te trouver une Antonella de Pablo numéro deux, une femme qui me soit égale et voire même qui me surpasse. Et toi j'exige qu'il soit aussi cruel que toi, qu'il n'ai aucune pitié pour les autres. Que son égo soit grand, bien trop grand pour un jour songer à passer une seule nuit avec toi car il te trouvera inférieur à sa personne. » Sans même un hésitation, il accepte. Je le fais dégager d'au-dessus de mon ventre et le laisse terminer la glace. « Et j'ai quoi en échange ? Si je réussis, je veux dire. » Il arque ses sourcils châtains et me lance un sourire en coin. « Un vibro, et un électrique cette fois-ci ! C'est tellement has been les trucs à fils. » Je soupire et lève les yeux en l'air. « Très bien, je t'offre une nouvelle poupée gonflable si toi tu réussis. » À mes mots il me saute au cou et m'attaque de baisers. « Antonella, Alejandro. Venez vite, Madame Cruz de Pablo recommence. » Dès que nous entendons l'appel de notre bonne Maria, nous accourons dans la chambre de notre mère, non sans que mon frère ne prenne soin de fermer le magazine avec dégoût face à l'actrice Angelina. Ma mère est atteinte de pertes de mémoire, d'un début d'Alzheimer. Elle se débat dans sa chaise, perdue. Je sais qu'elle ne nous reconnait pas, qu'elle ne reconnait pas sa propre maison, que ce n'est pas de sa faute. Avant qu'elle ne puisse lever la main sur la bonne, nous l'attrapons, moi et mon frère, et nous la forçons à rester assise le temps qu'elle se calme. Au bout de quelques minutes elle se met à pleurer, nous relâchons la pression que nous exerçons sur ses poignets. Je prends le visage de ma tendre mère entre mes mains. « C'est nous maman, Antonella et Alejandro. Nous sommes tes enfants, tout va bien. » Mon frère reste à l'écart, il souffre autant que moi de cette situation. Nous sommes tout deux très attachés à notre mère. Ma mère passe ses doigts entre mes boucles brunes, les mêmes que celles dans ses cheveux. « Mi niña. » J'acquiesce et lui sèche ses larmes. « Comme tu es grande. Tu es déjà mariée ? » Je nie de la tête. Heureuse de la voir parler mais triste qu'elle se souvienne pas de moi comme je le suis à présent. Triste qu'elle ait de si nombreuses absences. « Mais tu es vierge, hein ? » J'entends Juan éclater de rire, s'il n'était pas aussi loin, je le taperai. J'acquiesce à nouveau et ma mère paraît s'apaiser. Elle fini par s'endormir, mon frère et moi la transportons sur son lit. Je dépose un baiser sur son front. « Ah oui au fait, quand tu te marieras, comme tu vas faire ? Parce qu'avec ton passé, ça m'étonnerait beaucoup que tu mouilles tes draps d'une texture rougeâtre le jour de ton mariage. » Je lui lance un regard noir. Évidemment lui n'a pas ce problème, seule les femmes l'ont. « Tu sais Juan, on vend du sang comme des ipods de nos jours, et ça vient dans des pochettes plastiques. Ne me sous-estime pas, grand frère. Je gagne toujours à ce petit jeu. »
Pour plus d'informations, lire ma fiche sera peut être utile. Sinon contactez-moi par mp. Je bénie d'avance la personne qui jouera mon grand-frère. | |
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