JEAN ➝ i don't have to make this mistake, i don't have to stay this way.

Citation :: JEAN GAIA EMERSON
feat kristen stewart.

→ FACELOOK.
Nom, prénoms: EMERSON, jean gaia.
Age, date et lieu de naissance: vingt années, le treize juillet au Texas.
Métier: travaille dans le garage de son père.
Groupe: TOWNSFOLK

→ CURRENT IDEAS.
Comment concevez-vous l'idée de la violence dans les rues de Buenos Aires ? En avez-vous été un jour la victime ou bien l'auteur ?: Pas la peine de posez la question, la plupart des habitants de la ville ont au moins été témoin un jour de la violence qui régne dans la ville. Que cela soit qu'avec les yeux ou bien que l'agression demeure verbale ou physique. Pour vous répondre, oui j'ai déjà éte victime de leur violence - plus ou moins - et non je ne cautionne pas ses actes. Mais c'est pas avec des paroles qu'on arrivera sincèrement à quelques choses.
Depuis combien de temps vivez-vous à Buenos Aires et vous habituez-vous bien à la vie quotidienne en Argentine ?: Je vécue au Texas une grande partie de mon enfance, jusqu'a mes dix ans pour être précise. Année charnière où mère quitte le ranch et décide soudainement de partir en Argentine rejoindre mon paternel ancien pilote de formule 1. Mise à la retraite pour une blessure grave, il décide d'ouvrir son propre garage qui fonctionne plutot bien. Cela fait donc dix années que je vis en Argentine et on fait avec. Il y a des jours avec et des jours sans, un peu comme partout.
Comment expliqueriez-vous cette violence qui anime la ville depuis des années ?: Trop de divergences financières, de révoltes personnelles, des histoires pour attirer l'attention du gouvernement et des habitants, de clamer haut et fort une virilité nouvellement acquise ? Je n'en sais rien du tout, et très franchement c'est pas mes affaires.
Appartenez-vous à un gang qui vivifie Buenos Aires et comment percevez-vous cette guerre des gangs ?: D'un mauvais oeil, comme la plupart des gens qui n'appartiennent à aucun gang. Je ne vois pas l'intêret, et encore moins l'utilité de leurs actions, mais ils font comme ils veulent après tout (...)

→ UNDER SAIL.
Pseudo: blue bird.
Où as-tu trouvé le forum?: par mail (:
C'est votre dernier mot?: le forum est sublime bravo au staff

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BY PSYCHOZEE.

→ BANG BANG YOU'RE DEAD, NO JUST WAKE UP NOW !.

Il était bien souvent le cas qu’elle sorte le soir, elle appréciait le silence nocturne, rien de mieux pour pouvoir réfléchir mais aussi de quoi gagner sa vie. Elle travaillait comme barmaid le soir, et avait pris le pli depuis quelques années déjà. Elle reprit ses esprits lorsqu’un client à l’allure éreintée et complètement paumé s’installa au comptoir du bar. La musique argentine raisonnait en fond sonore, mettant dès lors une ambiance comme à l’accoutumée. Jean aimait travailler dans cette situation où l’odeur de la cigarette s’évapore rien qu’en dansant au rythme régulier - ou pas - de la musique, mais parfois rien ne se déroulait comme prévu. Le pauvre type lui commanda une téquila frappée, suivit de deux verres de rhum, à la fin du troisième verre le malheureux se mit à déverser toute une rancœur envers sa femme qui venait de le plaquer. Esquissant un pauvre sourire, qu’elle ne pensait pas vraiment, la fine brunette arqua un sourcil lorsqu’elle aperçu au loin une silhouette qu’elle ne connaissait que trop bien. La connaissance en cause s’avança vers elle, et s’appuya au bord du comptoir. « Alors ma belle, encore présente sur cet endroit malfamé ?! ». Cette question presque assertion, lui arracha un maigre rire ironique presque moqueur car venant de la part de Joaquin, plus rien ne l’étonnait. « On ne change pas les vieilles habitudes Joaquin. ». Lui avait elle dit en secouant son visage d’un air amusé. Saisissant une bouteille de bière, elle l’ouvra très vite et la fit glisser sur le comptoir pour qu’il parvienne à l’endroit où se trouvait son « ami » de longue date. A son tour, la Emerson s’accouda sur le bar et reprit. « Ne me dis pas que tu es présent ici pour la même rengaine ? Tu sais ce que j’en pense et puis de toute façon mon frangin n‘est pas ici. ». Dès lors, elle se retourna afin de terminer ce qu’elle avait commencé avant que le blond n’arrive. S’abreuvant d’une gorgée de bière, son interlocuteur lui répondit. « Je sais très bien qu’il n’est pas ici, c’est bien dommage. Je viens juste l’avertir, je sais combien il tient à sa sœur c’est tout. ». Il ricana le sourire amer, et quitta les lieux tout en considérant l’américaine d’un clin d’œil de mauvais augure. Sale type ! Avait elle pensée, mais qui pourrait la contredire. Elle ne lui accorda aucune œillade, et poursuivit son boulot adoptant l’acte de l’ignorance.

Quelques heures plus tard, la nuit demeurait toujours aussi sombre mais beaucoup moins silencieuse que d’habitude, lorsqu’elle sortit du commerce de nuit tout en replaçant son sac bandoulière en travers de son épaule gauche. Elle tourna la tête, et décida de rentrer chez elle comme si de rien était. La démarche tranquille, elle avançait comme à l’accoutumée jusqu’à la petite ruelle ombragée par la noirceur. Elle s’arrêta rapidement lorsqu’elle vit que deux hommes avoisinant son âge se trouvaient sur son passage. Reculant en arrière, elle ne fut pas surprise de découvrir Joaquin et ses camarades. Courir à toutes jambes ? Ce n’était pas son style. Appeler à l’aide ? Encore moins. Le dénommé Joaquin s’avança d’une démarche assurée vers la brune qui fixait ses yeux sombres d’un regard impassible et froid. Il porta sa main sur la joue de la jeune femme, un sourire vainqueur sur la bouche. « T’avoir dans mes relations ne me déplairait pas du tout … ». Esquissant un sourire narquois, Jean saisit sa main qu’elle recula de son visage. « Ne prend pas tes désirs pour la réalité mon vieux. ». « J’ai toujours adoré ton comportement Jean ! ». Secouant le visage d’un air moqueur, la brunette releva son regard azuréen vers Joaquin. « Arrête Joaquin ! ». La voix masculine retentit dans la ruelle sans grand bruit. L’interpellé se retourna quelques peu surpris qu’un de ses compagnons des mauvais jours ne rétorque. « Cela suffit. ». Poursuivit le grand brun sans une once d’énervement. « Son frère n’est pas présent, elle te l’a dit déjà alors laisse la tu veux. ». Un rire collectif émanait derechef de la rue déserte, la résonnance étant de mise. « Tu plaisante Tyler ?! ». « J’ai une expression à plaisanter peut être ? ». Un coup de point partie en sa direction, action qui fut rapidement intercepté par le brun qui doubla son coup en puissance sur l’autre. « Je t’aurai prévenu mon vieux. ». Il fit signe a Jean de le suivre, signe qu’elle suivit une expression froncé sur le visage. Ils marchaient toujours en direction de la ville lorsqu’il répliqua d’une intonation protectrice. « Ca va bien ? ». Elle hocha la tête, tout en plaçant sa capuche sur sa chevelure brune. « T’es du genre Gandhi bat le boa ? ». « Quoi ? ». « Laisse tomber va, cherche pas. ». Elle rigola d’un rire froid, puis il poursuivit. « Ton frère est un ami, il m’a rendu un énorme service autrefois, et aujourd’hui je lui rends le coup de pouce en veillant sur toi. ». Elle croisa les bras, les choses n’allaient pas vraiment se passer ainsi, elle ne l’entendait pas de cette oreille.

POUPOUPIDOU JEAN ➝ i don't have to make this mistake, i don't have to stay this way. 891406

Bienvenue. JEAN ➝ i don't have to make this mistake, i don't have to stay this way. 64013

Bienvenue parmi nous, je te réserve Kristen. I love you

CHAPPIE

avec mila (;
merci beaucoup I love you

Persee, j'aime beaucoup le pseudo (:
merci I love you

Bienvenue
Contente de te voir ici, belle gosse.

RUSTY

merci beaucoup (:

désolée du DP mais je pense avoir finit ma fiche.
c'est pas terrible donc sans soucis pour changer des choses (a)

Je te valide avec plaisir, les bannières sont belles à craquer. I love you

Très belle fiche, en tout cas. JEAN ➝ i don't have to make this mistake, i don't have to stay this way. 510245

oui elles sont superbes I love you

et merci beaucoup pour la fiche JEAN ➝ i don't have to make this mistake, i don't have to stay this way. 510245