MIKAELA ❧ it's okay to feel even the tiniest bits of fear.

Citation :

❧ Mikaela Vasquez
feat Mila Kunis

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→ FACELOOK.
Nom, prénoms: VASQUEZ, Mikaela Belen.
Age, date et lieu de naissance: 26 ans, 30 juillet à Buenos Aires.
Métier: Sans réel métier fixe, elle aide son frère au garage.
Groupe: Townsfolk.

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→ MINDSET.


ANECDOTE NUMERO 1.

« Mika, je dois y aller. Ne m'attends pas ce soir, je risque de rentrer ... tard.» La jeune femme lança un regard à la fois glacial et empli de peine à son frère ainé. Elle savait pertinemment ce qu'il allait faire, et avec qui il serait. Elle connaissait aussi les risques qu'il ne revienne pas. Maintes fois, elle avait tenté de le convaincre de se retirer de cette guerre de gangs insensée, mais rien n'y faisait. Luca était selon ses dires, essentiel à son gang. Mikaela avait plutot l'impression qu'il aimait ça, au péril de sa vie. « Fais attention, s'il te plait. » Il grommela un oui quasiment inaudible, avant d'étreindre sa sœur dans ses bras. La jeune femme se raidit un peu. Son frère était si peu affectif habituellement. Cette mission devait être périlleuse pour qu'il se comporte ainsi. Au bout d'une vingtaine de secondes, il s'éloigna de sa soeur, sans dire un mot, et sortit de la maison. Au moment ou son dos disparaissait derrière la porte, Mikaela murmura « Reviens moi. » D'un geste las, elle se dirigea vers le canapé miteux et se roula en boule, bien décidée à attendre son retour.

Lorsqu'elle ouvrit les yeux quelques heures plus tard, elle se trouvait sur son lit (un lit de camp inconfortable mais bien pratique). Mikaela se leva d'un bond. Elle sut qu'il était rentré, et se précipita en dehors de la chambre. Il lui tournait le dos, les épaules affaissées. La brunette connaissait son frère par coeur. Les bouteilles de bierre vides jonchant la table devant lui étaient signe que quelque chose ne s'était pas bien déroulé. Lentement elle s'approcha et l'entoura de ses longs bras fins. Luca ne broncha pas, et laissa sa tete reposer contre la peau douce de sa petite soeur. « C'est Diego. » Mika ferma les yeux. Elle avait compris. Le meilleur ami du jeune homme était mort. Elle savait qu'elle ne devait pas en demander plus pour l'instant. Il fallait le laisser encaisser le choc. C'était son héros, après tout, il se relevait toujours.

ANECDOTE NUMERO 2.

« Excusez moi ? Bonjour. » Mikaela releva la tête du capot de la voiture qu'elle était en train de réparer pour Luca, au son de cet accent si typiquement anglais. Elle ne s'était pas trompée. En face d'elle, se tenait un homme, loin d'etre argentin. Peau blanche, grands yeux bleus, sourire éclatant de blancheur digne d'une pub, coupe de cheveux entretenue, vêtements de marque ...Elle fronça les sourcils. Que lui voulait-il, celui là. « Ouais, que puis je faire pour vous ? ». Souriant toujours, il lui répondit sur un ton aimable qu'il avait un problème avec sa voiture et il aurait souhaité qu'elle jette un œil. D'un soupir elle accepta. Mikaela se méfiait tellement des hommes désormais, qu'un simple "client" pouvait lui donner des frissons dans le dos. Alors qu'ils marchaient tout deux vers la voiture garée un peu plus loin, elle le dévisagea du coin de l'oeil. Elle n'avait jamais vu cet homme, et d'ailleurs, les valises et sacs positionnés sur les sièges arrières lui confirmaient qu'il s'installait à Buenos Aires aujourd'hui. Comme pour répondre à ses interrogations muettes : « Je m'installe aujourd'hui ici, à Belgrano. » Elle lui décocha un regard glacial, qu'il ne prit même pas la peine de regarder. Un foutu riche en plus. Mika ne répondit rien, et répara la voiture en moins de temps qu'il ne fallut pour le dire. Petit problème de rien du tout. Elle le pria de la suivre au garage pour qu'elle vérifie la grille des tarifs. Il attendit à l'entrée le temps qu'elle aille la chercher. Lorsqu'elle revint, il était parti, et un joli billet l'attendait sur la table. Le triple de ce qu'il aurait du normalement. Ainsi qu'un petit bout de papier avec son nom, Graham Campthon. Ainsi que son adresse à Belgrano. Elle fulminait intérieurement. Encore un qui venait en croyant pouvoir se taper toutes les filles qu'il souhaitait. Et pourtant, Mikaela ne jeta pas la papier. Elle le fourra au fond de la poche de son jean, et repartit vaquer à ses occupations, avec un mot qui résonnait dans sa tete inlassablement. Graham. Elle qui avait juré de se méfier des inconnus, elle était bien vite tombée dans les filets de ses yeux bleus comme l'océan.

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→ CURRENT IDEAS.
Comment concevez-vous l'idée de la violence dans les rues de Buenos Aires ? En avez-vous été un jour la victime ou bien l'auteur ?: Mikaela est contre toute cette violence, bien que son frère soit lui-même membre d'un gang de rue. Chaque fois qu'il part rejoindre ses coéquipiers, elle est effrayée, car elle sait qu'elle pourrait le perdre. Nombre de fois, elle l'a vu revenir dépité car un de ses amis avait péri. De plus, il y a de cela six ans, elle a été victime de tout ce système. Un homme, voulant se venger de Luca, s'en était pris à Mika, et l'avait violé. A cette époque là, elle était vierge, ce qui était rare pour les jeunes femmes de son age. Elle en a énormément souffert. Le seul homme qui puisse l'approcher encore aujourd'hui reste Luca. Ils n'abordent jamais le sujet entre eux, mais n'y pensent pas moins.
Depuis combien de temps vivez-vous à Buenos Aires et vous habituez-vous bien à la vie quotidienne en Argentine ?: Mikaela est née à Buenos Aires. Son père était mécanicien, et sa mère les a élevé, elle et Luca, son frère ainé. Tous les deux sont décédés dans cette foutue guerre des gangs il y a douze ans maintenant, alors qu'ils n'en faisaient pas partie. Deux bons civils qui s'étaient trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment. Depuis, c'est Luca qui s'occupe de sa petite sœur, bien qu'aujourd'hui elle ait l'age de le faire seule.
La jeune femme ne s'habituera jamais à la vie ici. Trop dangereuse, trop imprévisible, trop risquée. Chaque minute qui passe pourrait être fatale à son frère, comme à elle.
Comment expliqueriez-vous cette violence qui anime la ville depuis des années ?: Ca ne s'explique pas, ça se vit. Et tant qu'on ne l'a pas vécu réellement, on ne peut pas comprendre. Ca a commencé bien avant l'arrivée de Mika et de sa génération. Ils en font les frais aujourd'hui. Ils ont été élevé ainsi, il ne pouvait donc en être autrement. Et Mikaela sait que ça ne cessera pas de sitôt.
Appartenez-vous à un gang qui vivifie Buenos Aires et comment percevez-vous cette guerre des gangs ?: Oui et non. Elle appartient à un gang d'une façon spéciale. Elle ne participe pas aux actions violentes, mais son frère faisant partie du gang de son quartier, elle le soutient. Et n'hésite pas à aider si il le faut, du moment qu'elle n'a pas a tuer quelqu'un. Elle espère aussi secrètement retrouver l'homme qui l'a violé, et qui lui a pris sa virginité, meme si elle sait qu'elle ne pourra jamais lui ôter la vie. Il lui arrive souvent de préparer à manger pour tout le gang, elle les écoute quand ils en ont besoin. D'une certaine façon elle est assez maternelle avec eux.

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→ UNDER SAIL.
Pseudo: Smashedwings.
Où as-tu trouvé le forum?: Au fin fond d'une ruelle sombre de Buenos Aires, il m'est apparu entouré d'un halo de lumière blanche, porté par l'Ange Florianne
C'est votre dernier mot?: C'est une bombe ce forum C'est mon dernier mot, Jean-Pierre.

+1

Eh beh, je vous le dis, celle-là, je l'ai fait souffrir. Mais finalement, elle a eu raison de moi, j'ai cédé à sa petite moue impatiente.
Bienvenue, je t'ai réservée Mila.

Personne ne me résiste. Surtout avec ces yeux là :

et moi, j'étais avec ces yeux là :
(désolée rustychou, j'étais bien partie pour t'attendre, mais elle a tout gâché, la vilaine. )

Mouahaha *rire machiavélique*.

Non mais tu es faible et puis c'est tout

On va dire ça pour lui faire plaisir.
(en mode avalanche de smileys. )

Les faits sont là. Tu as cédé.

Merci de ta compassion mais c'est sa faute.

Pénélope Merci Rustychouette.

Genre c'est ma faute. C'est toi qui m'a envoyé l'adresse

Je ne citerai pas de nom mais bon TU m'as tenté, quand même, en me faisant tes yeux doux.

Ouais mais t'as pas résisté donc c'est TA faute. Un peu de volonté bon sang.

J'ai fini, et c'est pourri

N'importe quoi, c'est trop bien. Je te valide bien sûr, ma Smashedou, et tu sais que je réclame un lien.

Oh bah oui un lien, c'est obligé meme.