NIRIELANDA ❂ Irreplaceble.

Citation :

NIRIEL BOLIVAR
feat penelope cruz

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→ FACELOOK.
Nom, prénoms: Bolivar de son nom de famille. Lors de sa première embauche à la télévision ont lui à demander si elle souhaitait le modifier, elle rétorqua qu'en aucune raison elle ne changerait son nom de famille, celui avec lequel elle a grandit dans les rues, celui de ses parents. C'est sa fierté. Son prénom est Nirielanda, le prénom de son affreuse grande tante qui est aujourd'hui enterrée dans les terres lointaines du sud du pays. Elle préfère qu'on l'appelle Niriel.
Age, date et lieu de naissance: La jeune femme est âgée de 36 ans. Elle est née dans un hopital de la banlieue de Buenos Aires un merveilleux jour de juin, le 12.
Métier: Niriel s'est fait une place dans la société Argentine, en publiant des articles critiquant la société actuelle du pays à travers des articles de mode son son blog. En moins d'un an, la jeune femme fut la blogueuse la plus connue de toute l'Amérique latine, aujourd'hui elle travaille à la télévision en tant que présentatrice d'une émission du soir, où elle reçoit des personnalités qu'elle interview et cela depuis maintenant six ans. Son émission fut élue la meilleure émission de l'année et l'ensemble fut regardé plus de trois milliards de fois à la télévision argentine.
Groupe: Townsfolk.

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→ CURRENT IDEAS.
Comment concevez-vous l'idée de la violence dans les rues de Buenos Aires ? En avez-vous été un jour la victime ou bien l'auteur ?: Disons que j'ai été la victime et l'auteur. Petite avec mes amis, nous jouions à jeter des yeux sur les voitures des riches voyageurs venant à Buenos Aires et qui s'aventuraient dans notre quartier. J'ai aussi volé de nombreux sacs à mains et des téléphones portables, je ne le nie absolument pas. Vous savez quand vous vivez dedans, vous ne pouvez y échapper. Puis quand j'ai commencer à vivre seule, avec un peu de recul, j'ai vécut l'horreur de tous les autres habitants normaux de Buenos Aires, des violences dans le métro, des agressions en pleine rue sur des personnes agées, des choses comme ça il y en a eut tous les jours. À mon retour du Mexique, en entrant dans le taxi, un jeune garçon s'est rué sur moi pour m'attraper mon sac, il s'est finalement enfuit avec une de mes valise. Je pense que tous ceci est un appel au secours de la part de la population, pour dire «Ohé! Regarde. Regarde où je vis et comment, tu aimerais être à ma place toi? Oui, toi haut fonctionnaire qui ferme sa gueule. Oui, parce que tu fermes ta gueule et tu le fait très bien, alors tu sais quoi, regarde ce que je fais!»
Depuis combien de temps vivez-vous à Buenos Aires et vous habituez-vous bien à la vie quotidienne en Argentine ?: Honnêtement, je suis toujours un peu surprise lorsqu'une agression surgi en pleine rue, mais je n'en suis plus traumatisée. Je vis ici depuis ma naissance, je suis née dans une favelas, j'ai bien connu cet enfer.
Comment expliqueriez-vous cette violence qui anime la ville depuis des années ?: Disons que le pays se contente de vider les caisses dans les stations balnéaires au petit soin des touristes, et non pour ses propres citoyens.
Appartenez-vous à un gang qui vivifie Buenos Aires et comment percevez-vous cette guerre des gangs ?: Mon frère en a fait parti. Aujourd'hui il dément n'avoir plus rien avoir avec tous ça, mais bon, je le sais très bien, quand on a fait parti d'un gang on ne s'en sépare jamais vraiment.

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→ UNDER SAIL.
Pseudo: Rusty Rockets, mais tu peux m'appeler Rustychou si l'idée te viens de...
Où as-tu trouvé le forum?: Depuis un long drapeau publicitaire volant au cul d'un avion longeant une sublime plage sur laquelle je me trouvais par hasard...
C'est votre dernier mot?: Marcel, j'hésite avec la réponse D.

Citation :

MINDSET
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par niriel bolivar.

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C'est une journée banale pour Niriel. Son smartphone déclencha une sonnerie à huit heure et demi. Le sommeil profond, Niriel poussa un léger gémissement puis dans la minute qui vînt étira ses deux longues jambes afin d'être d'attaque à sortir de son lit. Jaime, son amant se trouvait auprès d'elle. Elle s'assit en tailleur et observa la pièce. Par terre, ses vêtements avaient été jeté au sols, preuve d'une soirée de couple bien remplie. Elle pivota la tête et l'observa dormir profondément. Elle sourit en apercevant sa lèvre supérieur s'écraser contre l'oreiller. Il était jeune, bien plus jeune qu'elle. Huit ans les séparaient, mais ils s'aimaient. Leurs parents avaient bien sur fait plusieurs remarques à ce sujet, mais ils ne voulaient rien entendre. Six ans que leur amour reste le même, ils ne se lassent pas s'amusent, se font confiance et se surprennent encore. La jeune femme déposa un léger baiser sur la tempe de celui-ci et se leva du lit. Nue, elle enfila la chemise bûcheronne de Jaime qui était étendue sur le sol pour ensuite se diriger vers la cuisine. Sans se poser de question Niriel pris un abricot, mit un mug sous sa machine nescafé et attendit. Une fois le travail achevé, elle jeta son noyau d'abricot par la fenêtre et vînt chercher son café. Elle alluma une cigarette et s'assit sur le rebord de la fenêtre. «Bonjour mon coeur!» Jaime s'était levé. Il avait sûrement été éveillé par les bruits de la machine a café. Mais tous les matins c'était ce qui le réveillait et le mettait debout. Il avançait vers sa belle et déposa un tendre baiser sur son front. Il se prépara un café et resta debout à coter de la machine. «Tu veux que je t'amène au boulot ce matin?» «Sa dépends, tu dois travailler où aujourd'hui.» «Près des favelas, dans la maison de quartier.» «Mais c'est pas vraiment à coter, tu vas faire un gros détour, non, laisse mon chéri.» «Ne t'en fais pas, je dois y être pour 10:30, ça ira.» Niriel sourit. Lorsque son café fut terminé il vînt s'asseoir dans le canapé qui se trouvait non loin de la fenêtre où se trouvait la jeune femme. Il s'approcha d'elle et l'embrassa. «Je t'aime.»