BOULEVARDS OF TERROR DEPRAVITY
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 PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses

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Persee Hephaistos
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Persee Hephaistos


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MessageSujet: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses EmptyDim 1 Aoû - 14:29

Citation :
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PERSEPHONE HEPHAISTOS
feat Sienna Miller


→ FACELOOK.
Nom, prénoms: Hephaistos est un nom d’origine grecque, que la jeune femme a hérité de son père biologique, tandis que ses parents adoptifs ont décidé de son prénom, Persephone, faisant ainsi honneur à la déesse grecque des enfers, fille de Zeus. Cependant, elle se fait appelée Persee par tous car elle trouve son patronyme trop long et elle préfère garder le mystère de son véritable prénom. Elle démarque ainsi ses origines ainsi que sa nationalité grecques, en honneur à son pays qu’elle aime tant. Age, date et lieu de naissance: La jeune femme a fêté ses vingt-sept ans le 29 février dernier. En effet, elle est née le 29 février 1983, à Olympe, en Grèce. Seulement, elle est née lors d’une année bissextile et elle fête parfois son anniversaire le 28, lorsque le mois de février se termine ce même jour. Mais la belle ne prend pas cela pour un handicap ou quoi que ce soit de négatif, elle prend ça avec humour et pense que cela fait d’elle quelqu’un d’original et d’atypique. Métier: Persee est vendeuse de glace au magasin prénommé Helados en verano, qui se situe dans le quartier de Puerto Madero. Cependant, elle est également au service des différents commerces de la ville, du moment qu’elle peut gagner quelques sous. Groupe: Townsfolk.



→ UNDER SAIL.
Pseudo: Giulia, Floriane.
Où as-tu trouvé le forum?: Tu me poses une colle, là. PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 122371
C'est votre dernier mot?: Oui, Jean-Pierre. (BANNIERES @CHARETCUTESTORY)


Dernière édition par Persee Hephaistos le Lun 23 Aoû - 14:20, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses EmptyDim 1 Aoû - 14:29

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PRIMARY SCHOOL, APRIL 14th
YEAR 1994 – 16h21.

La salle de classe était bercée par les cigales, perchées sur des branches invisibles, au-dessus des fenêtres soit disant inflammables. Je me penchai contre la vitre, m’apprêtai à scruter les oiseaux se battre pour un pauvre vers de terre, lorsqu’une main vint se poser sur mon épaule. Je me tournai pour faire face à une silhouette un tant soit peu dodue et trop épaisse. Les épaules carrées, le visage circulaire et des prunelles étincelantes de colère, Mrs Gillespie m’observait. Ses pommettes étaient bien trop relevées et vultueuses pour être naturelles et je souris lorsque les commissures de ses lèvres gercées se hissèrent pour former un rictus satisfait. Ses lèvres entrouvertes mouvaient sans que je puisse réellement comprendre le sens de ses mots. Des syllabes, des lettres. Rien de tout cela ne formait une phrase, dans mon esprit. Et je continuai à regarder les oiseaux, les paumes de main accolées aux volets, et la bouche scellée à la brèche. Les autres élèves contemplaient mon bureau, gorgé de graffitis et, un feutre dans le bec, je souris. « puisque vous êtes si turbulente, persephone… pourquoi ne participeriez-vous pas au cours ? pour commencer, quelle est votre couleur favorite ? » rétorqua Mrs Gillespie, les sourcils arqués et les coudes alliés. Des ricanements s’échappèrent des élèves voisins mais Mrs Gillespie les fit taire d’un coup de règle sur leurs pauvres ongles rongés. Elle avait prononcé le dernier mot en accentuant chaque nouvelle syllabe. Elle n’avait pas demandé ma couleur préférée. Seulement ma couleur favorite. Si seulement, elle savait ce que cela signifiait pour moi. Le bleu. Tout le monde aimait le bleu, non ? La mer, l’azur, la jupe de Mrs Gillespie, son tailleur un peu trop moulant. Tout était bleu, même sa trousse. Personne ne détestait le bleu car tout le monde l’aimait. J’aimerais être tout le monde, me fondre dans la masse en imitant les autres écoliers. Alors je répondis le bleu, avec un entrain un peu trop enthousiaste. Ses pommettes se haussèrent un peu plus lorsque ma voix sourde et enrouée se fit entendre. Le silence fit son apparition et, le temps d’un seul mot – bleu –, le temps d’une seule parole, je pus entendre les oiseaux chanter derrière moi. Et les prunelles de Mrs Gillespie s’éteignirent avec le reste, pour laisser place aux oisillons gravitant autour de leur nid.

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BLUES CABARET, 17 AVRIL 2009
PERSEE HEPHAISTOS.

Les cordes s’accordent et, le manche coincé sous le bras, je traverse les rues jonchées d’ordures. Le regard plongé dans l’obscurité, mes pupilles noires se dilatent et cherchent le moindre filet de lumière. En vain. Elles s’illuminent lorsque, dans la pénombre de minuit pile, elles lisent le panneau du cabaret. En un souffle, la gitane au coin de mes lèvres gercées, la fumée pénètre au fin fond de mes poumons, pour ressortir par ma trachée. Autrefois, il m’avait dit, de sa voix caverneuse. « fume, tant que tu es vivante. et si cela doit te tuer, fume encore, parce-que tu mourras, d’une façon ou d’une autre. » Des volutes noires se dessinent discrètement dans l’air ambiant. L’herbe, presque grisonnante, repose sur le sol goudronné, et la pelouse semble avoir été débroussaillée la veille. Je l’attend, éperdument. Peut-être vainement. La cigarette dans une main, la guitare dans l’autre. Les mélodies me semblent peine perdue. J’exprime ma colère sur ma guitare car seule moi peux déchiffrer mes émotions. C’est de l’improvisation, nul ne cherche à aller au-delà des notes qui s’enchaînent. Et c’est mieux comme ça. Le projecteur balaye la scène, sans que quiconque n’y prête attention. Il cherche sa future proie, la victime qu’il broiera avec aigreur et mépris. En attendant, il actionne machinalement, il appuie le bouton d’arrêt, et il cherche. Il cherche sans s’arrêter. Peut-être me cherche-t-il. Ma cigarette s’embrase, se consume. Comme nos vies écoulées qui s’anéantissent sous nos yeux éteints. Mon cœur est incendié et pourtant, il demeure entre deux poumons, entre deux côtes. Il bat au rythme de mes mélodies, au rythme de mes émotions. Son charme sillonne les rues et je le regarde, au loin. Il s’approche et m’étreint, de ses mains peut-être un peu trop entreprenantes. Mais je m’en fiche. Sa peau se colle à la mienne, ses lèvres effleurent ma nuque, ses paroles enlacent les miennes. Il me délivre et désigne la scène, m’encourageant. Je parcours la scène, effleure le micro et l’apprivoise. Mon regard arpente la salle et parvient à le repérer. Je le scrute, peut-être inconsciemment. J’ignore si mon subconscient est en état de marche. J’ignore si je suis dans la réalité, ou si je demeure dans un rêve. J’aimerais me frapper, me pincer, me taper, pour déceler le rêve de la réalité. Mais je ne peux pas. Mes mouvements se décomposent et je ne parviens pas à bouger d’un seul poil. Mes joues s’empourprent et timidement, je lève mon poing vers lui. Puis, le trou noir.

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Il est là, au coin de la rue. Il est là encore, lorsque je déballe les légumes sur les étalages. Il me regarde, avec ce sourire en coin. Je tente de l’étreindre mais il n’est plus qu’un vieux souvenir. Il porte la même chemise de bûcheron, vichy, que le soir de sa mort. Ses prunelles pourraient paraître tristes et nostalgiques mais je parviens à déceler une pointe de malice dans ses yeux amandes. « tu mérites mieux que ça. » me disait-il. Il répétait cela avec détermination, et m’observait travailler. Je mettais les fruits de côté. Parfois, je lui en donnais une. Mais il la laissait, ne la regardait même pas. Il me suivait jusqu'au parc. Il s’étendait sur l’herbe à côté de moi et cueillait parfois des pissenlits pour les coincer derrière mes oreilles, sous mes cheveux blonds. Il les caressait avec tendresse et me regardait dans les yeux. Mais jamais plus. Dès que je le touchais, il s’en allait, me laissant avec ma solitude pesante. Et avec sa mort sur les épaules. Il me suivait jusqu’à chez moi et s’asseyait au coin de mon lit, ouvrait mes étagères pour en extraire des livres recouverts de poussière. « toi aussi, tu mérites tellement mieux que ça. » rétorquai-je. Mais il ne m’entendait pas. Il ne m’écoutait pas. Il cherchait quelque chose, mettait sens dessus dessous ma chambre pour ce quelque chose. Ses paroles étaient elles aussi un souvenir lointain. Sa voix se tapissait derrière sa silhouette athlétique et il me regardait, de ses yeux bleu azur. Puis, son regard se portait à la fenêtre, d’où il regardait les tas de ferraille qui constituaient les voitures de l’époque. Ce sont ces voitures qui t’ont tué. Elles t’ont tué sans le moindre regret. Des bouts de verre enfoncés profondément dans ta nuque et le long de ta colonne vertébrale. Ton corps recouvert de tôle. Ces images, je les revois quotidiennement. Nuit et jour. Puis, un jour d’hiver enneigé, ou plutôt une nuit, tu ressortis de mon placard ma guitare. Les cordes étaient abîmées mais toujours en place ; le manche était feutré de poussière et de souvenirs. Je l’empoignais et plaçant l’arrière de la guitare sous mon bras, je jouais. Je jouais pour toi. Je jouais pour que ton sourire revienne, et toi avec, même s’il fallut passer nuit et jour pour jouer. Je jouais pour que tu meures un peu plus avec tes souvenirs, pour que tu ne me quittes pas. Plus jamais.


Dernière édition par Persee Hephaistos le Dim 29 Aoû - 21:31, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses EmptyDim 1 Aoû - 14:29

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CURRENT IDEAS.
Comment concevez-vous l'idée de la violence dans les rues de Buenos Aires ? En avez-vous été un jour la victime ou bien l'auteur ?: Buenos Aires est devenu un terrain de jeu pour les malfaiteurs argentins ou venus d’ailleurs. Bien sûr, la vigilance est partout, à chaque coin de rue. On ne peut s’empêcher de baisser le regard dès qu’on croise quelqu’un, et on change de trottoir dès qu’on aperçoit un homme cagoulé et au visage pas tout à fait net. Les gens sont devenus de plus en plus méfiants et la convivialité et la confiance qui régnaient autrefois sur les places de marché et dans les boulevards se sont transformées en une vague de suspicion qui ne rassure personne. Bien sûr, il ne faut pas devoir paranoïaque, on peut très bien passer une journée sans être victime d’un racket. Mais néanmoins, le danger rôde, il peut s’attaquer à nous à chaque coin de rue, à chaque feu rouge. J’ai déjà été attaquée par un groupe d’adolescents prépubères, dont le visage était constellé de boutons mûrs et dégoûtants. J’aurais très bien pu prendre les jambes à mon cou et me précipiter vers l’avenue principale afin de me fondre dans la masse mais ils m’encerclaient et me menaçaient avec un couteau. Je n’ai eu d’autre choix que de céder en leur offrant mon sac avec, à l’intérieur, tout le matériel nécessaire, à savoir mon téléphone portable et mon portes-feuilles. Ils étaient prêts à me vider de mes poches, lorsqu’un homme a fait irruption dans la rue où les jeunes s’étaient emparés de mon sac. Il les a chassés en les menaçant d’appeler la police – qui, au passage, n’aurait pas pris la peine de faire le déplacement, considérant qu’il y a trop d’incidents tels celui-ci pour venir et chasser les malfaiteurs. Néanmoins, ils ont été congédiés et je n’ai plus jamais été embêtée. Je dois avouer que mon dernier petit copain en date, ancien scélérat reconverti en militaire accompli, y joue un rôle considérable. Il est comme mon garde du corps ; j’en viens parfois à me demander si ce n’est pas son véritable rôle.
Depuis combien de temps vivez-vous à Buenos Aires et vous habituez-vous bien à la vie quotidienne en Argentine ?: Comme je l’ai dit précédemment, je suis née à Olympe et la Grèce m’a affreusement manquée, les premières semaines. Mais rapidement, je me suis habituée à la vie exaltante argentine, à la chaleur qui règne en ces lieux. Il n’y a pas que des bons côtés, certes. Les touristes sont parfois horripilés par la présence de ces nombreux bidonvilles qui surplombent la ville. Mais ils font partie de Buenos Aires. Ils jouent un rôle majeur dans notre vie. Jamais un jour ne passe sans que je vois les couleurs rouge et bleues des fameux bâtiments et les enfants mendiants qui se précipitent chaque matin dans les lignes de métro, en compagnie de malfrats en tout genre. Je n’imagine plus retourner en Europe car la vie m’y semble tellement différente. Bien sûr, je pourrai m’y habituer en quelques mois mais ça n’est pas ce que je souhaite. Je ne veux pas mettre les pieds en territoire européen, quel que soit le pays où j’atterris, et je ne veux pas de nouveau m’habituer à l’aigreur, la froideur des passants, aux tensions qui occupent les capitales durant l’été.
Comment expliqueriez-vous cette violence qui anime la ville depuis des années ?: Je ne suis pas spécialement pédagogique et je ne cherche en aucun cas à analyser la psychologie de ces vandales. Je ne fais que les observer dans leurs moindres faits et gestes. Je ne pourrai pas expliquer cette violence, mais elle est devenue une mode en quelques dizaines d’années. Ce qui est sûr, c’est que la pauvreté y contribue beaucoup et même si l’Etat tente de faire des efforts pour aménager des logements plus ou moins raisonnables et les met à la disposition des plus défavorisés, la misère persiste. Bien sûr, les classes moyennes et aisées font tout pour redresser le niveau de vie de l’Argentine. Je dirai donc que cette violence a un profit : gagner de l’argent volé qui permettra aux familles victimes de la misère de s’acheter un pauvre repas à la boulangerie pour seul repas de la journée.
Appartenez-vous à un gang qui vivifie Buenos Aires et comment percevez-vous cette guerre des gangs ?: J’ai appartenu à un gang, c’est vrai. J’assume ce que j’ai fait et ce à quoi j’ai adhéré mais c’était il y a fort longtemps. J’étais jeune et faible psychologiquement. Les leaders de ces gangs ne nous donnent aucun répit, ils nous disent qu’on ne sera jamais violentés si on adhère à un gang et ils nous harcèlent, jusqu’à ce que l’on prononce à demi-mots le mot oui. Mais quand j’ai atteint mes vingt-quatre ans, j’ai tout stoppé. J’ai cessé de baigner dans ce trafic, qui consistait à trouver de nouveaux lieux chaque jour pour y faire des échanges de valises. Nul ne savait ce qui s’y trouvait, hormis les leaders et ceux à qui on tendait les valises. Sans doute un peu de drogue ou de l’argent blanchi. Peu importe. On se sentait puissants et importants, aux yeux du gang. Mais rapidement, on tombe dans l’oubli. On devient les objets d’une machine de guerre et on n’est plus que les pions sur un échiquier. Alors, je n’espère qu’une chose de la part de cette guerre des gangs : qu’elle arrive enfin à cesser tout ce trafic.


Dernière édition par Persee Hephaistos le Ven 20 Aoû - 13:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses EmptyLun 2 Aoû - 17:13

Sublissimes bannières, ma chère PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 510245
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MessageSujet: Re: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses EmptyLun 2 Aoû - 23:00

Tout le mérite revient à Chareth Cutestory @ tumblr. I love you PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 64013
Mais je dois avouer que Sienna est sublime sur ces bannières. PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 510245
J'espère que le forum va durer, ma Rustychou.
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MessageSujet: Re: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses EmptyMer 11 Aoû - 19:46

Moi aussi mon petit savon marseillais, on met tous nos efforts dedans, y'aurais pas de raisons pour qu'il ne dure pas, voyons. PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 510245
De toute façon, au fond de nous, on l'sait bien qu'on gère graaaave. PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 607730
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MessageSujet: Re: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses EmptyVen 13 Aoû - 20:35

Je sais je sais, mon petit savon basque. On gère la fougère et même si on doit rester toutes les deux sur le forum à rp entre Niriel et Persee, et ben c'est pas grave. PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 607730 PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 637138
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MessageSujet: Re: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses EmptyDim 15 Aoû - 18:54

Ah non non. Au pire, si vraiment, vraiment on galère grave à deux, on se fera des doubles comptes et tant pis hein! PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 607730 PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses 596717
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MessageSujet: Re: PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses   PERSEPHONE ♛ she killed it with kisses Empty

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