→ FACELOOK. Nom, prénoms:ESCOBAR, Carmela Isabelle. Age, date et lieu de naissance:Vingt-quatre ans, née le vingt avril 1986. Métier:Elle est vice présidente de la société d'import/export détenue par son père (Escobar Internationale - l'une des principales de la ville). Officiellement, il s'agit de simples marchandises en direction des États-Unis, officieusement tout est différent, bien qu'elle n'apprécie pas de baigner dans ce monde, elle s'y est fait. Groupe:Bloody'ghents.
→ CURRENT IDEAS. Comment concevez-vous l'idée de la violence dans les rues de Buenos Aires ? En avez-vous été un jour la victime ou bien l'auteur ?:Ni l'un ni l'autre, bien qu'elle fasse partie de la chaine alimentaire de la violence. Disons, pour faire simple, qu'elle travaille pour les violents au détriment des victimes. Elle n'a jamais eu à menacer quelqu'un ou quoi que ce soit de ce genre mais elle sait pertinemment que son père s'occupe de cette partie difficile. Lorsqu'il lui passera le flambeau, elle se devra de faire comme lui, les affaires sont les affaires. Depuis combien de temps vivez-vous à Buenos Aires et vous habituez-vous bien à la vie quotidienne en Argentine ?:Carmela est née ici, Buenos Aires est toute sa vie. La vie quotidienne en Argentine est donc quasi normale pour elle, malgré tout ce qu'il s'y passe. Évidemment elle a voyagé ailleurs et constaté que certains possèdent une vie extrêmement simple (notamment en Europe), sans violence ou histoires de trafics à droite, à gauche. Pourtant, pour rien au monde elle ne déménagerait. On pointe sans arrêt le mauvais côté de ce pays. Comment expliqueriez-vous cette violence qui anime la ville depuis des années ?:C'est la loi du plus fort. Ça marche comme ça partout, même dans les pays les plus riches. Sauf que chez eux, on appelle ces gens "gouvernement". Ici c'est moins tabou, plus présent. Quand on a rien on veut tout et tout obtenir revient à s'imposer, la violence semble être la seule manière plausible dans le coin. Appartenez-vous à un gang qui vivifie Buenos Aires et comment percevez-vous cette guerre des gangs ?:Appartenir semble être un bien grand mot, bien qu'effectivement ce soit le cas. Carmela considère plutôt qu'elle "travaille" pour eux. En effet, son père possède une entreprise permettant aux gangs de faire du trafic avec certains pays d'Amérique Latine, aussi et surtout, avec les États-Unis. Pour elle il s'agit de boulot, la guerre ne la concerne pas, elle ne fait qu'obéir à leurs ordres en échange d'argent et ne se mêle jamais du reste. C'est d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle beaucoup travaille avec elle: elle se même de ce qui la regarde. Point.
→ UNDER SAIL. Pseudo:Pomeline, SND, Pika etc. Où as-tu trouvé le forum?:Je suis tombé dedans quand j'étais petite. Non, sérieux: Bazzart (même si j'ai bourdé et suis tombé dessus avant, ha, hein Holly Dolly). C'est votre dernier mot?:Beau boulot !
Dernière édition par Carmela Escobar le Dim 5 Sep - 11:30, édité 8 fois
La chaleur Argentine était étouffante. Midi et le soleil était à son zénith. Pas une brise pour rafraichir l'atmosphère, pas un nuage qui se profilait à l'horizon, signe annonciateur d'une petite averse. Rien. Carmela Escobar se contentait donc, tant bien que mal, de l'abri que lui offrait sa voiture. En attente d'un client, uc
Accueil 
Non, sérieux: Bazzart (même si j'ai bourdé et suis tombé dessus avant, ha, hein Holly Dolly). 
